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L‘Etoile qui révèle le Soleil

L‘Etoile qui révèle le Soleil
L‘Etoile qui révèle le Soleil


- Présentation de la Mère de Dieu au Temple (21 novembre)
- Chants de la Divine Liturgie

L’“Étoile qui révèle le Soleil”, formule contenue dans l’Acathiste à la Mère de Dieu, résume admirablement bien à la fois la théologie orthodoxe et la piété populaire par laquelle l’Église entoure la sainte Vierge Marie, celle que nous pouvons appeler la ‘Mère de Dieu’. La liturgie orthodoxe a réussi à maintenir en équilibre, d’une part, la mémoire de l’Incarnation du Christ – le mystère fondamental sur lequel repose la maternité divine de Marie – et, d’autre part, la piété des chrétiens qui reconnaissent en Marie à la fois une vraie soeur et une véritable mere. La proximité organique entre le mystère de Marie et celui de son Fils est manifeste dans le déroulement des deux fêtes liturgiques qui font l’objet de ce CD et a été mis en évidence dans le choix des chants qui y sont rassemblés.
L’hymnographie des deux fêtes est suivie par six chants qui appartiennent au fonds hymnographique le plus ancien de la Divine Liturgie byzantine.
Une sonnerie de cloches marque le début et la fin du CD, comme aussi le passage entre les deux fêtes. Depuis la construction de l’église byzantine de Chevetogne, le monastère a eu un petit carillon de quatre cloches. En 2010, à l’occasion de la construction d’un nouveau bâtiment reliant le monastère à l’église, un vrai clocher a vu le jour avec 7 nouvelles cloches, qui ont été fondue à Moscou.

CHCD 105/311
Durée: 79’40
Dir.: P. Thomas Pott
Livret de textes: slavon, français, anglais, allemand.
Introduction: français, néerlandais, anglais, allemand.
 

Description


- Présentation de la Mère de Dieu au Temple (21 novembre)
- Chants de la Divine Liturgie

L’“Étoile qui révèle le Soleil”, formule contenue dans l’Acathiste à la Mère de Dieu, résume admirablement bien à la fois la théologie orthodoxe et la piété populaire par laquelle l’Église entoure la sainte Vierge Marie, celle que nous pouvons appeler la ‘Mère de Dieu’. La liturgie orthodoxe a réussi à maintenir en équilibre, d’une part, la mémoire de l’Incarnation du Christ – le mystère fondamental sur lequel repose la maternité divine de Marie – et, d’autre part, la piété des chrétiens qui reconnaissent en Marie à la fois une vraie soeur et une véritable mere. La proximité organique entre le mystère de Marie et celui de son Fils est manifeste dans le déroulement des deux fêtes liturgiques qui font l’objet de ce CD et a été mis en évidence dans le choix des chants qui y sont rassemblés.
L’hymnographie des deux fêtes est suivie par six chants qui appartiennent au fonds hymnographique le plus ancien de la Divine Liturgie byzantine.
Une sonnerie de cloches marque le début et la fin du CD, comme aussi le passage entre les deux fêtes. Depuis la construction de l’église byzantine de Chevetogne, le monastère a eu un petit carillon de quatre cloches. En 2010, à l’occasion de la construction d’un nouveau bâtiment reliant le monastère à l’église, un vrai clocher a vu le jour avec 7 nouvelles cloches, qui ont été fondue à Moscou.

CHCD 105/311
Durée: 79’40
Dir.: P. Thomas Pott
Livret de textes: slavon, français, anglais, allemand.
Introduction: français, néerlandais, anglais, allemand.
 

Prix: €19,00
Ex Tax: €15,70
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